Arrêté du 25/04/90 – BO n°20 du 17/05/90 : classe de Seconde

Dans les classes de lycée, l’emploi des calculatrices en mathématiques a pour objectif, non seulement d’effectuer des calculs, mais aussi de contrôler des résultats, d’alimenter le travail de recherche et de favoriser une bonne approche de l’informatique. De plus, en analyse, cet usage permet d’accéder rapidement à des fonctions variées et à leur représentation graphique.

En seconde, les élèves doivent être entraînés à utiliser une calculatrice programmable comportant les fonctions statistiques pour effectuer des calculs numériques, pour calculer une moyenne ou un écart type, et pour programmer sur des exemples simples, le calcul de valeurs numériques d’une fonction d’une variable.

En cas d’achat de machine en début de Seconde, ou au cours du second cycle, il est conseillé de choisir un modèle dont les caractéristiques répondent aux spécifications et aux objectifs précédents et suffisent pour couvrir l’ensemble de ce cycle.

[Le document d’accompagnement du programme de seconde applicable à la rentrée 2000 et publié au BO  hors série n°6 du 12/08/99 précise que ce nouveau programme conserve les objectifs du précédent ; les élèves auront en plus à utiliser le générateur aléatoire de la calculatrice en vue de simulations.]

Note de service n°97-258 – BO n°45 du 18/12/97 : utilisation des calculatrices en classes de première et terminale des séries générales et technologiques des lycées

L’enseignement des mathématiques en classes de première et terminale des séries générales et technologiques des lycées fait appel à l’utilisation des calculatrices dans des situations liées aux programmes des classes concernées. Les objectifs visés et les capacités exigées sont précisées dans les préambules de ces programmes. [voir ci-dessous]

À compter de la rentrée 1997, les élèves doivent être entraînés à l’utilisation des calculatrices graphiques. Ils doivent notamment savoir afficher à l’écran la courbe représentative d’une fonction ; cette capacité est exigible en fin de terminale à compter de l’année scolaire 1997/1998. En ce qui concerne les classes de terminales des séries ES et S, on se référera aux arrêtés du 15 mai 1997 (BO hors série n°4 du 12/06/1997) qui définissent les nouveaux programmes applicables à la rentrée 1998. [voir ci-dessous]

BO spécial n°2 du 2/05/91 : classes de Première S et de Terminale L spécialité mathématiques – Note de service n°94-192 du 30/06/94 : classes de Première et Terminale STT gestion

L’emploi des calculatrices en mathématiques a pour objectif, non seulement d’effectuer des calculs, mais aussi de contrôler des résultats, d’alimenter le travail de recherche et de favoriser une bonne approche de l’informatique.

Les élèves doivent savoir utiliser une calculatrice programmable dans les situations liées au programme de la classe considérée. Cet emploi combine les capacités suivantes, qui constituent un savoir-faire de base et sont seules exigibles :

Savoir effectuer les opérations arithmétiques sur les nombres et savoir comparer des nombres ;

Savoir utiliser les touches des fonctions qui figurent au programme de la classe considérée et savoir programmer le calcul des valeurs d’une fonction d’une variable permis par ces touches ;

Savoir programmer une instruction séquentielle ou conditionnelle ;

Savoir programmer une instruction itérative comportant un test d’arrêt (exigible en Terminale L uniquement).

Note de service n°94-192 du 30/06/94 : classes de Première et Terminale STT ACA et ACC

L’emploi des calculatrices en mathématiques a pour objectif, non seulement d’effectuer des calculs, mais aussi de contrôler des résultats.

Dans la spécialité Action et communication administratives, les élèves doivent savoir utiliser une calculatrice scientifique.  

Dans la spécialité Action et communication commerciales, les élèves doivent savoir utiliser une calculatrice programmable dans les situations liées aux programme de la classe. Cet emploi combine les capacités suivantes, qui constituent un savoir-faire de base et sont seules exigibles :Savoir effectuer les opérations arithmétiques sur les nombres et savoir comparer des nombres ; Savoir utiliser les touches des fonctions qui figurent au programme de la classe considérée et savoir programmer le calcul des valeurs d’une fonction d’une variable permis par ces touches.

Il est conseillé de disposer d’un modèle dont les caractéristiques répondent aux spécifications et aux objectifs précédents et comportant les fonctions statistiques (à une ou deux variables).BO hors série n°4 du 12/06/97 : classes de Terminales ES et S

TES

L’usage des calculatrices modifie certaines parties de l’enseignement. Les calculatrices sont notamment un bon outil pour découvrir le mode de pensée algorithmique, pour faire des conjectures, ou pour vérifier des résultats. Lors de certaines activités numériques et graphiques, on développera l’esprit critique des élèves en mettant en évidence certains problèmes liés à l’usage de valeurs approchées à la place des valeurs exactes.

TS

L’emploi des calculatrices programmables ou ordinateurs de poche en mathématiques a pour objectifs, non seulement d’effectuer des calculs, mais aussi de contrôler des résultats, d’alimenter le travail de recherche et de favoriser une bonne approche de l’informatique.  

TES et TS

Les élèves doivent savoir utiliser leur matériel personnel dans les situations liées aux programme de la classe. Cet emploi combine les capacités suivantes, qui constituent un savoir-faire de base et sont seules exigibles :

Savoir effectuer les opérations arithmétiques sur les nombres et savoir comparer des nombres ;

Savoir utiliser les touches des fonctions qui figurent au programme de la classe considérée et savoir programmer le calcul des valeurs d’une fonction d’une variable permis par ces commandes ;

Savoir afficher à l’écran la représentation graphique d’une fonction ;

Savoir recourir à une instruction séquentielle, et en ce qui concerne l’enseignement de spécialité en terminale, une instruction conditionnelle et une instruction itérative comportant éventuellement un test d’arrêt.

Il est conseillé de disposer d’un modèle programmable comportant les fonctions statistiques (à une ou deux variables) - même en TS, ceci en vue de l’emploi dans les autres disciplines et dans les études supérieures - et dont les caractéristiques, notamment graphiques, répondent aux spécifications et aux objectifs précédents.